Dans une démarche proactive, le Ministère de l’intérieur et des Outre-mer,  Noémie GADDARKHLAN, conseillère santé, protection sociale, éducation, jeunesse et sport au cabinet de la Ministre des Outre-Mer, a accueilli Marion SARROCA, directrice de la Ligue nationale Contre l’Obésité, ainsi que Claudine CANALE, membre du conseil d’administration et du conseil de patients de la Ligue. Une rencontre significative centrée sur les enjeux de l’obésité dans les territoires ultramarins, marquant un moment décisif dans notre combat contre l’obésité dans les territoires ultramarins.  Elles se sont rencontrées pour discuter des défis spécifiques liés à l’obésité dans les Outre-mer et des mesures à adopter pour y faire face efficacement.

L’objectif de cette réunion était double : d’une part, présenter les projets en cours et les futures initiatives de la Ligue nationale Contre l’Obésité, et d’autre part, aborder de manière approfondie la situation particulière des territoires ultramarinss. Il est notoire que ces régions souffrent d’un manque de données précises concernant l’obésité, ce qui complique les efforts de prévention et de traitement.

Marion SARROCA a exposé les multiples projets de la Ligue visant à combattre l’obésité à travers la France, soulignant l’importance de stratégies adaptées aux particularités culturelles et sociales des Outre-mer.  Claudine Canale a partagé son expérience en tant que patiente et présidente d’association, mettant en lumière les défis quotidiens auxquels les patients sont confrontés et l’importance de les intégrer dans la conception des politiques de santé.  Noémie GADDARKHAN a clairement reconnu les défis complexes associés à l’obésité dans les Outre-mer et a souligné l’importance de ces préoccupations. Elle a valorisé la première rencontre avec la Ligue comme un pas essentiel vers une meilleure compréhension mutuelle et a exprimé son enthousiasme pour la poursuite de discussions approfondies et constructives dans le futur.

Cette échange marque un tournant potentiel dans la lutte contre l’obésité dans les Outre-mer, en mettant en avant le besoin de politiques spécifiques, basés sur des données solides et une participation active des communautés locales. Le chemin est encore long, mais la détermination des parties prenantes présage d’une évolution positive dans la gestion de cette problématique de santé publique.